MTBWALblog: Coupe de Suisse à Lugano, ce dimanche

dimanche 10 avril 2011

Coupe de Suisse à Lugano, ce dimanche

Une course dont voici les 12 premiers :

1. SCHURTER Nino (1986) Chur Scott-Swisspower MTB Racing en 1:39:15,7
2. MILATZ Moritz (GER) (1982) Freiburg BMC Mountainbike Racing Team : 1:39:22,2
3. VOGEL Florian (1982) Rapperswil-Jona Scott-Swisspower MTB Racing : 1:39:32,8
4. RAVANEL Cédric (FRA) (1978) GT Skoda Chamonix : 1:40:53,9
5. GUJAN Martin (1982) Mastrils Cannondale Factory Racing : 1:42:39,8
6. GALLATI Patrik (1988) Mollis BMC Mountainbike Racing Team : 1:42:39,8
7. KAUFMANN Lukas (1987) Gränichen Easton Rockets : 1:43:13,0
8. STIRNEMANN Matthias (1991) Gränichen Thömus Racing Team : 1:43:16,0
9. GIGER Fabian (1987) Rieden SG Rabobank-Giant Offroad : 1:43:17,2
10. MEYER Pascal (1988) Russikon Thömus Racing Team : 1:43:29,7
11. ARNOLD Marco (1988) Bürglen Giant Swiss SR-Suntour : 1:43:48,9
12. ABSALON Julien (FRA) 1980 Raon-aux-bois Orbea : 1:44:27,3

et où Pascal Hossay (Team Wallonie) termine 30° :

30. HOSSAY Pascal (BEL) (1987) Battice Team Wallonie : 1:50:57,6 (+11:41,9)

Source : Racer Bikes Cup

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MTB hier, aujourd'hui et demain

Les titres peuvent rester les mêmes. Rien ne change vite, toute innovation doit vaincre les réticences de ceux qui sont en place et qui savent. Le MTB d'aujourd'hui est sans aucun doute beaucoup plus populaire que jamais, les multiples activités de loisir à vélo tout terrain sont là pour le confirmer. Mais pourquoi se plaint-on d'un désintérêt pour les compétitions ? Certaines, dites de loisir, font le plein, comme tous ces grands marathons bien ancrés dans les mentalités. D'autres grandes compétitions font également le plein lorsqu'elles offrent des qualités d'accueil, de tracé et d'informations suffisantes.
La diffusion de ces informations, des résultats des compétitions font partie intégrante de cet intérêt et de ce désintérêt. Attendre 3 jours pour apprendre avec exactitude quel est le classement est démotivant pour les compétiteurs, les erreurs n'étant même parfois non corrigées.
Si l'on dit qu'un effort est fait pour diffuser les informations fédérales, qu'on le fasse vraiment... qu'on se donne les moyens de le faire, qu'on se bouge un peu ! Combien de fois faut-il aller à la recherche d'indices, de résultats alors qu'ils sont semble-t'il jalousement gardés... combien de fois seuls certains reçoivent cette information, au détriment des autres ! Il n'y a pas tant de sites internets ou de blogs à solliciter. Mais il faut vouloir le faire...